La liste des choses à faire ou à voir à Nîmes

L’amphithéâtre romain de Nîmes admirablement conservé avait été construit pour divertir la population de la ville et des alentours, sous le règne des empereurs romains. Au Moyen-âge il bénéficie d’une véritable vie de quartier fortifié avant d’être reconverti au cours du XIXè siècle en arènes, dédiées actuellement aux courses, corridas et événements culturels (spectacle, théâtre, concerts) des manifestations proposées.

Temple antique, la Maison Carrée mesure 26 m de long sur 15 m de large et 17 m de hauteur. Elle faisait partie du Forum, cœur économique et administratif de la cité antique.

Jardins publics créés au XVIIIè siècle sur le site antique de la Source qui intègre la Tour Magne et le Temple de Diane.

Vaste enceinte de la Gaulle Romaine englobant un espace de 220 hectares sur 7 km. Elle comptait une dizaine de portes et environ 80 tours. La Porte Auguste et la Porte de France sont actuellement les dernières encore visibles.

La Tour Magne était la plus haute et la plus prestigieuse de l’enceinte romaine. Visible de loin, elle signalait la présence de la cité et du sanctuaire impérial de la Source, situé au pied de la colline.

Accessible depuis les jardins de la Fontaine, le temple de Diane est creusé en partie dans le flanc du mont Cavalier. L’édifice était à l’origine entouré de salles annexes et supportait un étage ou une terrasse. La façade principale a conservé deux niveaux, aujourd’hui, les vestiges consistent principalement en une salle voûtée de 14 m sur 9 m de large, pourvue de cages d’escalier qui permettaient d’accéder à des constructions mitoyennes disparues.

Point d’arrivée de l’Aqueduc de Nîmes qui permettait d’alimenter la cité en eau. La construction est contemporaine de l’élévation de l’Amphithéâtre antique.

Musée ethnographique crée en 1920 par Henri Bauquier pour rassembler en un même lieu le patrimoine de la ville : objets du quotidien aujourd’hui désuets, collections retrospectives des talents du passé. Il est abrité dans l’ancien palais épiscopal (XVIIè siècle).

Créé initialement en 1823 dans la Maison Carrée, la ville deplace les collections archéologiques dans une partie de l’ancien collège des Jésuites situé au sud de la ville ancienne à partir de 1896. Il est prévu qu’elles soient présentées dans le futur Musée de la Romanité, face aux Arènes.

Le musée se trouve depuis 1907 dans un bâtiment conçu par l’architecte Max Raphel, situé dans le Square de la Mandragor. Le parcours chronologique permet de découvrir les œuvres des écoles italiennes du XIVè au XVIIIè siècle, mais aussi des peintres du nord tel que Bramer ou Rubens, les français Reynaud et Delaroche, les paysages provençaux de la seconde moitié du XIXè siècle.

Collections muséographiques rassemblées autour de la tauromachie, indissociable de l’identité nîmoise qui véhicule, par tradition, un rapport aux terres camarguaises et aux jeux de la feria.

La collection du Musée d’Art Contemporain illustre la période des années 1960 à nos jours. Il propose tout au long de l’année des expositions temporaires et des accrochages réguliers.

Installé autour d’un cloître et de la chapelle du XVIIè siècle, le museum couvre tous les domaines des sciences de la nature et certains secteurs des sciences de l’homme. Il est inauguré en 1895 grâce aux collections du savant Jean-François Séguier.