La liste des choses à faire ou à voir à Marseille
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Palais Longchamp
Inauguré en 1869 le monument commémore larrivée des eaux du Canal de la Durance à Marseille. Il réunit sur un même site le musée des Beaux-Arts, le Muséum dHistoire Naturelle et un parc botanique et zoologique.
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Eglise des Réformés
L’Église Saint-Vincent-de-Paul doit son nom courant à l’emplacement d’une ancienne chapelle des Augustins Réformés. Elle est située dans le quartier du Chapitre, en haut de la Canebière.
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Château d’If
Ancienne forteresse construite sous François Ier en 1524 qui devient prison dEtat au XVIIIè siècle. Il est devenu célèbre grâce au personnage dAlexandre Dumas, Edmond Dantès.
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Palais du Pharo
Monument dont la construction fut ordonnée par Napoléon III pour l’Impératrice Eugénie dans la seconde moitié du XIXè siècle. Il appartient aujourd’hui à la ville de Marseille et constitue un lieu d’accueil pour des congrès et diverses manifestations.
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Cathédrale Sainte-Marie-Majeure
La Major a été construite en style néo-byzantin entre 1852 et 1893 sur les plans de l’architecte Léon Vaudoyer. Elle se dresse sur une esplanade entre le Vieux-Port et le port de la Joliette, sur l’emplacement de l’ancienne cathédrale du xiie siècle, d’où vient le nom occitan de « Major ». Son architecture et sa décoration intérieure, en marbre et porphyre, lui donnent un aspect particulier pour un édifice religieux.
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Notre-Dame de la Garde
uvre de l’architecte Henry Espérandieu, cet édifice est un chef-duvre de polychromie d’influence byzantine. À la mort d’Espérandieu, cest Henri Revoil qui reprend les travaux et achève l’ensemble par un somptueux décor de mosaïques. Elle est admirée pour sa crypte austère et dépouillée, l’éblouissante église supérieure, la statue d’argent du maître-autel (Chanuel, 1839) et les ex-voto. Mais cest surtout la statue monumentale de la Vierge, dominant toute la ville de son clocher, qui attire tous les regards.
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Les Docks
Emblématiques du quartier des affaires, les docks furent construits de 1858 à 1863 selon le modèle des docks anglais. Ils sont constitués de cinq bâtiments de six étages pour une longueur totale et de 365 m.
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Abbaye St-Victor
Sous l’Empire Romain, le site de l’Abbaye Saint-Victor fut d’abord une carrière, puis une nécropole chrétienne. L’abbaye doit son nom à Victor le Martyr, officier dans une légion thébaine entièrement composée de chrétiens, qui fût décapité. Sa légion fut elle aussi entièrement massacrée par l’empereur Maximien Hercule en l’an 302.
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Fort St-Nicolas
Le fort Saint-Nicolas surplombe le port de Marseille. Il a été édifié de 1660 à 1664 par le chevalier de Clerville sur ordre de Louis XIV afin de mater lesprit dindépendance de la ville de Marseille. La citadelle abrite une garnison tout au long du XVIIIè siècle. Elle est partiellement détruite par une foule de révolutionnaires en 1790. Soucieuse de conserver un ouvrage utile à la défense de la patrie, l’Assemblée Nationale ordonne l’arrêt des démolitions par décret. En 1794, Bonaparte, Inspecteur des côtes de la Méditerranée, écrit au ministre de la Guerre pour rendre au fort son aspect défensif contre l’avis du peuple, craingnant la construction dune « bastille marseillaise ».
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Villa Bagatelle
La Villa Bagatelle fut construite en 1903 par Henri Neagly, issu dune famille suisse, protestante, ayant fait fortune à Marseille par les négoces de coton. L’architecture de la Villa Bagatelle est inspirée du style pittoresque anglais du XVIIIe siècle. Elle est surprenante de par son plan en croix, ses formes irrégulières et ses multiples ornementations sculptées en bois. Elle accueille des expositions et des événements culturels autour de l’art, de l’histoire, des sciences… La Villa Bagatelle ouvre également son jardin au public.
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Château Borély
Le Château Borély a été construit au XVIIIè siècle sur le domaine rural de Bonneveine à la demande de Louis Borély (1692-1768), riche négociant issu dune famille implantée en Provence depuis cinq siècles.
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Palais des Arts ou Palais Carli
Construit à la fin du XIXè siècle par l’architecte marseillais Henri Espérandieu, cet édifice a été construit dans le but d’accueillir la bibliothèque municipale et l’école des beaux-arts. Situé sur la place Auguste et François Carli, dans le 1er arrondissement, on lui donna très vite le nom de Palais Carli.
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Pavillon Daviel
C’est sur le parvis de l’Hôtel Daviel, ancien Palais de Justice (au XVIè), que la guillotine se dressait, attendant ses condamnés. Et pour ceux qui lui échappaient, les sous-sols de l’édifice tenaient lieu de prison.
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Maison Diamantée ou l’Oustau Bigarrado pouncho de diamant
L’histoire de ce monument exceptionnel, le plus ancien bâtiment du patrimoine communal – classé monument historique depuis 1925, est complexe et la datation de la construction incertaine. Cette maison est l’un des rares symboles de la ville ancienne disparue et des demeures patriciennes du quartier du Corps de Ville voué à la mer et au négoce. Au cur de l’ensemble prestigieux des bâtiments de l’Hôtel de Ville elle s’élève à proximité du quai grec sur les vestiges de demeures antiques et médiévales
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Manufacture des Tabacs de la Belle-de-Mai
Construite d’après les plans de Désiré Michel elle fut inaugurée en 1868. Aujourd’hui, elle est au coeur du pôle culturel de la Friche de la Belle de Mai. L’histoire de la manufacture prend fin et celle de la friche industrielle commence. En 1994, la Ville de Marseille achète la partie de la manufacture datant du XIXe siècle, pour en faire un pôle patrimonial : à côté des Archives Municipales de Marseille s’installent le Centre Interrégional de Conservation et Restauration du Patrimoine (CICRP) et le Fonds Communal d’Art Contemporain.
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Le Fortin de Corbière
Bâti en 1861 et destiné à la surveillance des embarquements et débarquements des navires, le Fortin de Corbière est aujourd’hui un lieu d’exposition. Situé en front de mer de la rade de lEstaque, l’association Adolphe Monticelli y propose des expositions des uvres du maître marseillais de la peinture provençale.
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Capitale Européenne de la Culture
La Ville de Marseille s’est associée à des communes et à des agglomérations voisines pour porter le projet de ville Capitale Européenne 2013. Tout au long de l’année, elles ont déployé un programme d’événements culturels d’exception, des expositions, des spectacles, des ateliers, des fêtes populaires. Cette année Marseille était éligible aux côtés de la ville de Kosice (en Slovaquie) pour bénéficier du titre de capitale européenne de la culture.