La liste des choses à faire ou à voir à Reims

Réalisation majeure de l’art gothique en France, sa construction prend place entre le XIIIè et le XIVè siècle. Son statuaire (pas moins de 2 303 statues) et son architecture lui valent d’être inscrite au patrimoine mondiale de l’Unesco depuis 1991.

Chapelle de style roman dédiée à la Vierge dont les plans et toute la décoration sont conçus au cours de l’été 1966 par le peintre japonais Léonard Foujita. Il en a couvert les parois d’un programme iconographique de 200 m2, d’inspiration biblique aux détails d’une tradition japonaise raffinée.

Palais archiépiscopal qui doit son nom à son plan conçu au Moyen-âge, en forme de lettre T. L’ancienne demeure des évêques et archevêques de Reims fut agrandie et reconstruite au cours des siècles, avec des remaniements importants à la fin du XVè siècle et dans les années 1680-1690. Le palais fut transformé en tribunal, puis en bourse de commerce durant la Révolution française.

L’histoire de l’abbaye est intimement liée au développement du culte de saint Remi et à la symbolique des sacres. Déployé sur 17 salles, le fond historique du musée traite de l’histoire rémoise et régionale de la Préhistoire à la Renaissance, il présente aussi une section d’histoire militaire.

Oeuvre du sculpteur Paul Dubois, offerte à la Ville de Reims en 1896 par souscription de tous les Français.

Située dans le quartier très populaire de Sainte Anne, la basilique a été voulue par le cardinal Langenieux, archevêque de Reims de 1875 à 1904. Sa construction fut confiée à l’architecte rémois Alphonse Gosset, lequel édifia également le grand Théâtre de la ville. De style caractéristique néobyzantin, son plan emprunte à la croix grecque (4 bras égaux) et sa coupole centrale repose sur 4 demi-coupoles.

Monument romain construit entre 180 et 230, elle était originairement un arc de triomphe construit pour témoigner de la grandeur de la ville sous le Haut-Empire, avant de devenir ultérieurement une porte de ville. Il ne possède plus son attique. Elle tient son nom de la proximité d’un temple dédié à Mars, dieu romain de la guerre.

Galerie souterraine (horreum) en forme de U, situé à l’endroit actuel de la place du Forum, au centre ville de Reims.

Le Phare de Vezernay invite à la découverte du vignoble de Champagne, à travers un parcours muséographique d’une heure et demi et une montée à 25 m de hauteur.

Le musée-hôtel Le Vergeur est composé de deux corps de bâtiment datant du XIIIè siècle et du XVIè siècle. Il propose l’exposition d’œuvres antiques, jusqu’au XXè siècle dont les gravures d’Albrecht Dürer, un mobilier Renaissance et néogothique ainsi que des œuvres d’Asie et d’Orient (XIXè siècle) collectées lors des nombreux voyages d’Hugues Krafft, propriétaire de l’hôtel de 1909 à 1935.

Le fort de la Pompelle fut construit en 1883 à 8 km au sud-est de Reims pour compléter la ceinture fortifiée de la ville, conçue par le général Séré de Rivières après la guerre de 1870. Les riches collections du musée, propriété de la Ville de Reims, évoquent au moyen de documents d’époque, d’objets de la vie quotidienne dans les tranchées, d’armes, d’équipements, d’uniformes, de mannequins et de pièces d’artillerie les péripéties des combats pour l’héroïque défense de Reims.

Créé en 1794 et installé dans l’ancien Palais abbatial de Saint-Denis, les collections du musée représentent les principaux courants artistiques de la Renaissance au début du Xxè siècle (dessins de Lucas Cranach l’Ancien, paysages de Corot, œuvres de Renoir, Monet, Gauguin, Boudin).

Lieu de la signature de l’acte de reddition sans condition de l’ensemble des forces armées du Troisième Reich qui met fin à la Seconde Guerre Mondiale en Europe. Il est situé dans une partie des locaux du Lycée Franklin-Roosevelt à Reims.

Cinquième musée automobile de France géré par une association de collectionneurs, propriétaires d’un certain nombre des 220 véhicules exposés : autos et motos de 1908 à nos jours, une belle collection de plaques émaillées et plus de 5 000 miniatures et jouets automobiles.

La construction de la Cité-Jardin du Chemin Vert a démarré après la Première guerre mondiale, avec la construction de 36 maisons de style alsacien, pour des familles nombreuses ouvrières (617 logements habités dès 1922). Le site, riche de nombreux documents d’archives, de photographies, de plans, retrace l’histoire de cette cité, des débuts du Foyer Rémois, à l’organisation du chantier, en passant par la présentation des différents services proposés aux habitants.