Les différentes sortes d’étrons (nos plus beaux cacas)

C’est celle que tu sens sortir, que tu vois sur le papier mais pas dans la cuvette.

C’est celle qui sort, que tu vois dans la cuvette mais pas sur le papier.

Tu t’essuies, tu t’essuies, tu t’essuies… Mais il en reste toujours sur le papier. Tu décides alors de remonter ton pantalon et de mettre une feuille de papier dans le caleçon pour éviter les traces de freinage.

Le retour de la revanche de la suite qui contre-attaque : Tu as fini mais quand tu remontes ton pantalon tu t’aperçois qu’il faut que tu chies encore un peu.

C’est celle qui te fait forcer tellement fort que tu as peur de la crise cardiaque.

C’est celui qui est tellement gros que tu as peur de le casser en tirant la chasse. Tu es surpris mais fier que cela vienne de toi.

Tu veux chier, tu sens qu’elle est proche, mais tout ce que tu as ce sont des crampes et des pets.

C’est celle qui fait tellement mal que tu jurerais qu’elle sort de travers.

C ’est celle qui sort avec tellement de vitesse ou qui est tellement lourde qu’elle t’éclabousse le cul.

C’est le liquide jaune brun qui éclabousse toute la cuvette et qui te brûle le cul.

Ce sont les toutes petites boules. Certaines coulent d’autres flottent.

Tu penses que tu vas péter, mais tu réalises que tu vas chier et c’est déjà trop tard.

C’est quand tu es en train de faire une bonne crotte dans les toilettes publiques et que tu dois t’arrêter car tu ne veux pas que la personne d’à côté t’entende.

C ’est tellement bruyant que tout le monde autour rigole.

Elle sent tellement fort qu’elle te pique le nez.

Celle qui refuse de tomber bien que tu saches qu’elle est sortie. Tu espères qu’en te secouant le derrière elle va se décrocher.